• éviter la baignade dans les trous d’eau subsistants,
  • éviter de traverser ou marcher dans le lit du cours d’eau même asséché, etc.
    Autant que possible, le public est invité à reporter ses activités vers les plans d’eau et les lacs
    les plus étendus restant significativement en eau (Vassivière, Lavaud-Gelade, les trois Lacs…),
    et vers les piscines municipales.
    La pêche demeure autorisée sur l’ensemble des cours de deuxième catégorie piscicole et sur
    tous les plans d’eau ouverts à cette activité.

SÉCHERESSE – NIVEAU CRISE

Cette situation particulièrement préoccupante doit amener chacun à se mobiliser pour économiser la ressource en eau !

Le déficit de précipitations, constaté depuis la mi-juin, se poursuit et les températures sont élevées et la situation de sécheresse s’aggrave.

Le haut bassin versant de la Dordogne, dans le sud du département, qui était jusqu’ici épargné, voit les débits des cours d’eau chuter de manière importante.

Dans ces conditions, il est nécessaire de renforcer les mesures de restrictions pour le bassin versant de la Dordogne, à savoir les communes de Saint-Martial-le-Vieux, Saint-Oradoux-de-Chirouze et Saint-Merd-la-Breuille.

Ainsi, Monsieur Ottman ZAÏR, Secrétaire Général de la préfecture de la Creuse, après avis favorable des membres du comité ressource en eau, a signé un arrêté plaçant le département :

  • en CRISE sécheresse sur les bassins versants du Cher, de la Creuse aval et amont et de la Vienne ;
  • en ALERTE Renforcée sécheresse sur le bassin versant de la Dordogne.

Chacun peut se tenir informé des restrictions qui lui ont applicables en fonction de son lieu d’habitation et d’activité via l’application « VigiEau » disponible sur le site : vigieau.gouv.fr

En période de canicule et en l’absence de précipitations, la situation s’aggrave fortement, Monsieur le Secrétaire Général de la préfecture de la Creuse invite chacun à poursuivre les efforts d’économies et de sobriété en matière de consommation en eau potable et de privilégier les solutions alternatives aux prélèvements en milieu naturel (utilisation d’eau de pluie, d’eau industrielle ou tout autre dispositif déconnecté du réseau hydrographique).